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Chronique d'un enfant du monde moderne

Chronique d'un enfant du monde moderne
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5 août 2014

#Avec le cœur et la raison

J'ai décider de souffler, enfin je veux dire que ce boulot dont je vous parler, et bien c'est finis. C'est avec un grand soulagement que je vais prendre du temps pour moi, ce que je n'avais pas fais depuis quelque mois, et prendre soin de ma grand-mère qui est frapper d'un mal appelé cancer. En faite depuis quelque jours j'ai poser bagage chez elle, elle qui c'est occuper de moi étant plus jeune, je pense qu'il est à mon tour de lui retourner l'appareil. Je peux enfin aussi me poser à table, entourer de mes amis, de ma famille, et d'un bon repas. J'ai tellement de projet à faire, j'aspire à tellement d'envie, un bol d'air pur sur la rive de théoule fait du bien. Ce calme fait écho, même si j'ai toujours cette brune au cheveux long qui me fait faire l'ascenseur émotionnel toute la sainte journée : A quoi tu penses ? Avec qui tu es ? Te comble t-il plus que je n'aurais pu le faire ? J'ai tellement envie de discuter avec toi mais j'ai tellement peur d'apprendre que tu te porte mieux sans moi. Je me convaint que de toute façon plus rien de nous deux n'est d'actualité et qu'il ne restera que de doux souvenirs. Mais je constate en tout cas un mal pour un bien, j'écris beaucoup plus, c'est dingue comment une phrase, une seul, peut lancer une image dans la tête, une émotion dans le cœur. Avec le cœur et la raison, les écrits restes. Ce sentiment est une pierre lancer au milieu d'un lac, tout paraît si calme, la pierre pénètre dans la vaste étendu d'eau, mais l'impacts fait osciller toute la surface. Qui aurait cru que j'écrirais un jour ? Certainement pas mon ancien prof de Français, lui qui prenait un malsain plaisir à rabaisser tout ses élèves. Ça doit tenir de ma mère ça, elle qui a une boîte à chaussure remplis de petit mémo, sur ses envies, ses regrets, ses fiertés. La vie ne tiens qu'à peu de chose, on le vois actuellement au Moyen-Orient, et dans 500 ans il restera quoi de nous ? De ce que nous avons accomplie ou même pensé ? Ce n'est pas les livres d'école qui vous le dirons, ce sont ces gens qui subisse la merde de la vie quotidienne et qui auront une boîte à chaussure remplie de mémo.

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31 juillet 2014

#4h37

Je me perd, enfaite j'ai perdu repère. Il y a tellement de chose qui se sont accumulé en si peu de temps, je vous passe les détailles. Enfin non, en parler fait du bien, par commencer par ce boulot de merde, ce salaire de merde, cette ambiance de merde proches d'une télé-réalité et de tout ce qui en suit. De toute façon je finis par ne plus y aller, c'est exaspérant de fournir tant d'effort et de ne pas recevoir à sa juste valeur la gratitude souhaiter. Cette compétition positive mais fatigante à qui a le plus bosser, cette course au chiffre, ce manque de compassion. Enfin, comme je disais il y a des choses qui s'accumule, comme mon ex compagne qui m'a dit au revoir sur un message, qui a refait ça vie avec un autre dans la foulée. Ça calme, ça fait réfléchir, à me demander ou est ce que j'ai louper le wagon, elle qui m'a tant donner et que je n'ai su recevoir. Mais je me persuade que je l'aime assez pour m'effacer si ça peux lui remonter le moral, ça aura était la chose la moin égoïste que j'aurais fait, de toute manière je n'ai pas le choix. Le choix, avant je le posséder, maintenant je me plie à toute ces contrainte qui pèse très lourd sur le cœur. Je n'ai qu'elle en tête, je fixe ce four à bois, j'entasse mes regrets et me détruit chaque soir. Mais c'est pas la solution hein, mes rares amis proche tende amicalement l'oreille mais n'en pense pas moin : tu as totalement tord, mais je suis ton ami, donc je ne peux qu'aller dans ton sens. Cette hypocrisie amicale qui ne fait qu'accentué mes regrets, une culpabilité pesante à en perdre le sommeil. Tu me manques tellement, ma vie à perdu beaucoup de son sens, et j'ai l'impression d'en avoir marre d'être heureux. Le soleil cogne en cette pleine période d'été, je fixe mon volet laissant entre-voir un fin rayon de lumière, l'hétérogénéité est parfait, entre mon ressentie et mon visuelle, je cherche à me perde, à toucher le fond pour que ce bruit infernale qui retentit dans mon cœur deviennent silence.

20 avril 2014

#2

 

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Salem, Salem, Salem, Salem. Lui fait du rap, moi j'fais ma vie. C'est assez schizophrène comme phrase, je sais, mais j'ai cette douce sensation d'être partager entre vie social et vie d'artiste, même si elle n'est pas si floricente que ca ces dernier temps. Mais rien a foutre, la musique n'est qu'un prétexte pour me plaindre, de tout et de rien, quand je veux, ou je veux. Tu t'es déjà retrouver devant une cinquantaine de personne, avec 2 grammes dans chaque bras, un mal a distingué les visages, et que tout ce beau monde attendent de toi des phrases percutantes, attendent

que tu fasses mieux que ces artistes qui passent en radio ? Moi oui, et franchement c'est frustrant. Le rap est complexe, c'est le genre de travail ou il faut être constant, dans l'écriture, chercher la pépite qui fasse remplir ton ventre d'une douce chaleur. Ca y est, je la tiens, cette phrase qui te fait esquisser un sourire, ou celle qui te prend au coeur, ou encore cette figure de style qui ferais perdre ses deux jambes a un gymnaste. Il faut oser dans la vie, et hônnetement y'a peu d'personne qui on cru au potentiel possible que je pouvais donner, et dans un sens je ne leur en veux pas, je les comprends.

Mais il y a surtout les amis, ces gens que tu vois la tête poser sur la vitre de la voiture, défilant a toute allure. Il va, il vient, mais nous confondont beaucoup l'ami et la connaissance : la connaissance dit amicalement a l'ami vouloir mieux le connaitre, mais l'ami connait mieux ses ami en connaissance de cause, vois tu ? L'amitiée soigne, elle peut causer de la peine, même provoquée de la jalousie, oui comme un vieux couple, et j'arrive a me dire que je préfère mille fois un ami sincère et blaissant qu'une compagne amoureuse et jalouse.

Voilà pour aujourd'hui, see you soon. S. 

17 février 2014

#1

 

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J'n'ai jamais était bon à l'école, mais j'n'étais pas non plus mauvais, donc pardonner les fautes d'orthographes, le coeur y est, c'est l'essentiel.
Je m'appelle Ange, pas évident a porter dans une jeunesse, avec des vannes incessantes et surtout répétitive, je vous laisse deviner. Issue d'une famille
de trois enfants, je suis celui du milieu, et j'ai toujours pensé, et même constater que cette plaçe arrive a t'effacer en un clin d'oeil dans le cercle
familiale. Maman me disais "Tu sais Ange, t'es pas le centre du monde, il faut que t'arrête de croire que le monde ne peut pas tourner sans toi.", et puis
vient la constatation, la constation de voir qu'elle avait raison. On est pas grand chose, mais on est surtout ce que l'on veut voir de bon dans ce monde.
Le monde et ca grande folie, cet endroit remplie de joie et de peine, d'amour et de haine, mais surtout d'amour, surtout. De toute façon on est que de passage, et je me suis toujours dis qu'il fallait que je marque mon époque, apporter un message positif pour la suite de cette grande histoire qu'est la vie.
Oui je sais, c'est le genre de grand discours a la Mandela, Luther King ou même Malcolm X, c'est même carrément cliché, mais tellement vrai.

J'ai du mal a parler de sentiment, a parler d'amour, mes proches on même parfois du mal a me cerné. Je pense que l'amour, le véritable je vous parle,
Ne se trouve qu'enfant, quand l'ignorance prône sur les pulsions physique et que nous nous jettons a bras ouvert dans cette insoucience du lendemain.
Ah l'amour, l'union de deux personnes conscentante que leur histoire aura une fin, ca fais peur. Ca fais peur de ce dire que tout a une fin, de se lancer
sur des travaux, qu'ils soient physique ou moral, et qu'au final, chacun de nos effort reste inutile. Alors c'est un peu pour cette raison que j'écris,
laisser des pensées écrite qui peux peut-être faire réfléchir ou avertir sur des choses de mon propre vécu.

 

 

 Je m'appelle Ange Coursia, et voici mon histoire

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