#4h37
#2
Salem, Salem, Salem, Salem. Lui fait du rap, moi j'fais ma vie. C'est assez schizophrène comme phrase, je sais, mais j'ai cette douce sensation d'être partager entre vie social et vie d'artiste, même si elle n'est pas si floricente que ca ces dernier temps. Mais rien a foutre, la musique n'est qu'un prétexte pour me plaindre, de tout et de rien, quand je veux, ou je veux. Tu t'es déjà retrouver devant une cinquantaine de personne, avec 2 grammes dans chaque bras, un mal a distingué les visages, et que tout ce beau monde attendent de toi des phrases percutantes, attendent
que tu fasses mieux que ces artistes qui passent en radio ? Moi oui, et franchement c'est frustrant. Le rap est complexe, c'est le genre de travail ou il faut être constant, dans l'écriture, chercher la pépite qui fasse remplir ton ventre d'une douce chaleur. Ca y est, je la tiens, cette phrase qui te fait esquisser un sourire, ou celle qui te prend au coeur, ou encore cette figure de style qui ferais perdre ses deux jambes a un gymnaste. Il faut oser dans la vie, et hônnetement y'a peu d'personne qui on cru au potentiel possible que je pouvais donner, et dans un sens je ne leur en veux pas, je les comprends.
Mais il y a surtout les amis, ces gens que tu vois la tête poser sur la vitre de la voiture, défilant a toute allure. Il va, il vient, mais nous confondont beaucoup l'ami et la connaissance : la connaissance dit amicalement a l'ami vouloir mieux le connaitre, mais l'ami connait mieux ses ami en connaissance de cause, vois tu ? L'amitiée soigne, elle peut causer de la peine, même provoquée de la jalousie, oui comme un vieux couple, et j'arrive a me dire que je préfère mille fois un ami sincère et blaissant qu'une compagne amoureuse et jalouse.
Voilà pour aujourd'hui, see you soon. S.
#1
J'n'ai jamais était bon à l'école, mais j'n'étais pas non plus mauvais, donc pardonner les fautes d'orthographes, le coeur y est, c'est l'essentiel.
Je m'appelle Ange, pas évident a porter dans une jeunesse, avec des vannes incessantes et surtout répétitive, je vous laisse deviner. Issue d'une famille
de trois enfants, je suis celui du milieu, et j'ai toujours pensé, et même constater que cette plaçe arrive a t'effacer en un clin d'oeil dans le cercle
familiale. Maman me disais "Tu sais Ange, t'es pas le centre du monde, il faut que t'arrête de croire que le monde ne peut pas tourner sans toi.", et puis
vient la constatation, la constation de voir qu'elle avait raison. On est pas grand chose, mais on est surtout ce que l'on veut voir de bon dans ce monde.
Le monde et ca grande folie, cet endroit remplie de joie et de peine, d'amour et de haine, mais surtout d'amour, surtout. De toute façon on est que de passage, et je me suis toujours dis qu'il fallait que je marque mon époque, apporter un message positif pour la suite de cette grande histoire qu'est la vie.
Oui je sais, c'est le genre de grand discours a la Mandela, Luther King ou même Malcolm X, c'est même carrément cliché, mais tellement vrai.
J'ai du mal a parler de sentiment, a parler d'amour, mes proches on même parfois du mal a me cerné. Je pense que l'amour, le véritable je vous parle,
Ne se trouve qu'enfant, quand l'ignorance prône sur les pulsions physique et que nous nous jettons a bras ouvert dans cette insoucience du lendemain.
Ah l'amour, l'union de deux personnes conscentante que leur histoire aura une fin, ca fais peur. Ca fais peur de ce dire que tout a une fin, de se lancer
sur des travaux, qu'ils soient physique ou moral, et qu'au final, chacun de nos effort reste inutile. Alors c'est un peu pour cette raison que j'écris,
laisser des pensées écrite qui peux peut-être faire réfléchir ou avertir sur des choses de mon propre vécu.
Je m'appelle Ange Coursia, et voici mon histoire